J'ai un collègue formidable : Luc Arsenault. En plus d'être mon collègue, il est aussi (entre autres) auteur, metteur en scène et costumier de théatre.
En 2007, il a écrit Poussière d'un jour pour le Festival Les Arlequins qui a lieu chaque année en France, à Cholet.
La pièce était jouée hier soir et ce soir au Café l'Artère par 15 comédiens, anciens élèves de l'Université de Montréal.
Les textes étaient poignants et très bien interprétés. Les personnages avaient pour point commun d'être tous morts un 28 mai. Tour à tour, ils se sont avancés pour nous raconter l'histoire de leur mort : un jeune tatoueur mort de l'hépatite C, une mère de famille morte dans un accident d'avion, une jeune infirmière morte en 1917 dans les tranchées...
C'était très émouvant et il fallait bien penser à amener son mouchoir (imprimé léopard, c'est plus chic!).
Ça semble être une sortie agréable mais poignante...
RépondreEffacerEt effectivement très chicos le mouchoir!
;)
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