Le Festival Quartiers Danses a débuté pour 12 jours de célébration de la danse contemporaine. Cette 21e édition a lieu du 6 au 17 septembre en salle et en contexte urbain.
30 chorégraphes et compagnies venues de 8 pays sont à Montréal pour présenter leurs œuvres, parfois créées spécialement pour le festival. C'est une formidable vitrine pour ces professionnels du milieu, qu'ils soient déjà bien installés ou de la relève.
En plus des spectacles proposés en salles, principalement à l'Édifice Wilder, le festival offre une série de spectacles gratuits et pour tous les publics, en contexte urbain, par exemple aux Jardins Gamelins ou sur la Place des Festivals. 14 films sur la danse sont également présentés dans le cadre du festival, des productions nationales et internationales.
J'ai assisté hier au cocktail d'ouverture du Festival Quartiers Danses qui était suivi de 2 prestations solos (par une danseuse autochtone puis par un danseur accompagné d'un guitariste électrique) dans l'Atrium du Studio-Théâtre des Grands Ballets Canadien et de 2 prestations en salle : un puissant solo de 15 minutes dansé par Morgane Le Tiec et une chorégraphie de 50 minutes plutôt physique avec 4 interprètes.
4 créations originales, 4 styles, et des thèmes variés : l'amour et les souvenirs transmis via une robe reçue en héritage, la rage contre l'inertie, une exploration de l'acte du rituel, les relations et le support qu'on peut être pour l'autre. Et puis dans la danse contemporaine, le spectateur y voit aussi un peu ce qu'il veut...
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